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- Paru le 16/06/2005
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Tactique et Pratique bulletArticle: Technique de lance: passage de porte


Après avoir réalisé une progression avec le plus de précautions possible, il faut se rendre à l'évidence: le local est fermé par une porte et il va falloir la franchir. Qu'elle est la situation de l'autre côté? Comment pénétrer dans le local de la façon la plus sécurisante possible? La technique de lance dont la vidéo est disponible ici en téléchargement, montre que le passage de porte ne s'improvise pas. Cet article complétera cette vidéo, en décrivant précisément les actions à entreprendre et surtout, en justifiant ces actions.

La porte
Cherchons d'abord à savoir ce qu'est une porte et surtout, ce que toutes les portes ont en commun.

- La porte permet la pénétration dans un local donc la pénétration de l'air frais et par la même la ventilation du feu. Or un feu correctement ventilé peut doubler de puissance toutes les 60 secondes ! Maîtriser l'entrée d'air est donc une nécessité.
- La porte est une zone de turbulence. Il est clairement démontré qu'en haut des portes, la puissance thermique est supérieure à celle qui est détectée en milieu de local. Cela vient entre autres du fait que la porte est sur une paroi: les gaz chauds, émis par le foyer, sont au plafond et se déplacent. Lorsqu'ils arrivent sur la paroi, ils descendent le long de celle-ci. Au niveau de la paroi, la zone de chaleur la plus forte sera donc plus basse qu'au centre du local.
Or, comme la porte est une ouverture sur une paroi, une fois que les sapeurs-pompiers auront passé la porte, ils se trouveront donc dans une zone très chaude alors même qu'ils devront y rester quelques instants pour analyser la situation.
- La porte peut-être le point de départ du cône d'expansion d'une éventuelle explosion.
- La porte est un élément d'interface entre un local qui contient des fumées combustibles chaudes en partie supérieure, et un couloir (ou une autre pièce) qui contient du comburant. Ce point mérite d'être expliqué: dans le local, même si l'air frais arrive par une fenêtre, cet air frais est utilisé par le foyer. En partie supérieure il y a donc des fumées, fortement combustibles, qui peuvent très bien être au-dessus de leur température d'auto-inflammation. Elles ne prennent pas feu car elles manquent de comburant puisque celui qui entre dans le local est consommé par le foyer. Dès que nous allons ouvrir la porte, ces fumées vont sortir, rencontrer le comburant présent dans l'autre local, et prendre feu.

Ceci peut conduire à 2 phénomènes:

  • Une inflammation qui va retourner dans le local et en produire l'inflammation des fumées (accélération de l'apparition d'un flashover par exemple, ou même phénomène explosif).
  • Une inflammation qui va se propager dans le local sur lequel s'ouvre la porte (autre pièce, couloir...), si celui-ci est rempli de fumées. Celles-ci pouvant venir d'une fuite (faux-plafond par exemple) ou de la pyrolyse d'élément surchauffés au travers de la cloison.

Et de toutes façons, si ces fumées prennent simplement feu sans propager l'incendie, elles risquent de brûler ceux qui ouvriront la porte.

Les objectifs
Il faut essayer d'estimer la situation de l'autre côté de la porte avant de l'ouvrir, améliorer si possible la résistance de la porte (ce qui sera utile s'il faut rebrousser chemin!), éviter l'auto-inflammation des fumées lors de l'ouverture et enfin refroidir la zone située derrière la porte, puisque c'est dans cette zone qu'il faudra aller une fois la porte passée.

Note:Dans tout ce qui suit, seul le jet est changé en cours d'opération (droit, ouvert...). Par contre le débit reste toujours le même: c'est un débit minimum, donc environ 150lpm.

La position
Les tâches sont réparties entre les deux intervenants, qui doivent communiquer. Pour cela les rôles sont clairement définis: le porte lance va arroser et c'est son équipier qui va ouvrir la porte. Le porte lance sera protégé par sa lance tandis que l'équipier sera protégé par le mur ou par la porte.
En premier, il faut se positionner. Il existe quatre manière d'ouvrir les portes:

  • En tirant à droite
  • En poussant à droite
  • En tirant à gauche
  • En poussant à gauche

L'équipier se place en se repérant sur un petit moyen mnémotechnique: la règle des 4 "P": Si la Porte se Pousse je me Place côté Poignée. Pour déterminer si la porte se pousse ou se tire, il suffit de la regarder, de chercher les gonds, ou simplement d'en toucher le chambranle. En premier, les sapeurs-pompiers se positionnent de part et d'autres, pratiquement l'un en face de l'autre.

Dans cette position, l'équipier est toujours protégé pour ouvrir. Soit il est protégé par le mur (porte s'ouvrant en poussant, ce qui est l'immense majorité des cas) soit par la porte (cas des portes s'ouvrant en tirant).

Note: lorsqu'il pousse la porte, il le fait avec la main gauche si la poignée est à droite et avec la main droite si la poignée est à gauche. Ainsi, lors de l'ouverture, son visage est protégé : il peut tourner la tête. Pour ouvrir il n'avance que son bras et pas son corps.

Détecter la situation
Les intervenants étant positionnés, il faut tenter de détecter la situation de l'autre côté de la porte. Pour cela il faut d'abord observer car des fumées sous pression sont peut-être visibles. Afin de ne rien oublier et parce que sous ARI il est difficile de se concentrer, la solution consiste à regarder tout autour, dans le sens des aiguilles d'une montre. Ensuite, il faut toucher la porte en gardant impérativement ses gants: ce sont des équipements de protection individuelle et en cas de problème, le sapeur-pompier qui ne les aura pas aura bien du mal à argumenter devant son assureur!
Le fait de toucher la porte avec le dos ou la paume de la main n'est pas clairement définie. L'information par laquelle, en cas de danger de type électrique, la main sera plus rapide à retirer si l'on touche avec le dos qu'avec la paume, n'est pas avérée. Cela vient sans doute du fait que le choc électrique crispera les muscles. Si l'on enserre quelque chose, cela peut donc se révéler vrai, mais pas lorsque l'on touche une surface plane. Par contre, concernant une éventuelle brûlure, se brûler la paume de la main permettra encore de la fermer, tandis qu'une brûlure au dos obligera à la garder tendue (voir l'article sur la détection de la chaleur avec la main). Il semble donc que la solution la plus logique serait de toucher avec la paume de la main.

Toujours est-il que le but n'est pas ici de toucher pour sentir la chaleur, mais plutôt de déterminer si la peinture est en train de se dégrader. Bien avant que l'on puisse ressentir la chaleur au travers d'un gant "incendie", la peinture aura commencé à se dégrader. En passant la main dessus, nous sentirons la peinture "accrocher" comme si elle n'était pas sèche. C'est pour cela qu'il faut toucher la porte de bas en haut afin de déterminer à quelle hauteur la peinture commence à coller. Si vous commencez par le haut et que votre gant est plein de peinture, il sera difficile de savoir jusqu'à quel niveau " ça colle "!
Bien sûr, si la porte est déjà cloquée, il est inutile de la toucher!

Important: il est possible de déterminer tout un tas d'éléments par l'observation et le toucher. Mais l'absence d'un signe ne signifie pas l'inverse de sa présence. Ainsi, une porte chaude va indiquer que le local est chaud, mais une porte froide n'indique pas forcément qu'il est froid car la porte peut être isolée. De même, la présence de fumée sortant par le bas de la porte va donner un signe de type "backdraft". Mais si la porte est bien calfeutrée, la fumée ne sera pas visible. D'ailleurs, il existe des exemples de backdraft se produisant dans des locaux possédant des exutoires, insuffisants. Dans ce cas, la surpression s'échappe par l'exutoire et la fumée n'est pas visible en bas des ouvertures. Nous nous rappelons donc d'un point essentiel: l'absence de signe n'est pas un bon signe! En clair, "absence de signe = grand danger". La prudence est toujours nécessaire.

Renforcer la porte
Une fois que cette détection est réalisée (observer et toucher), il faut badigeonner la porte. C'est ce qui est conseillé aux personnes piégées chez elles: arroser votre porte! Le but est d'en augmenter la résistance. En cas de repli, il sera ainsi possible de refermer la porte en espérant qu'elle tienne un peu plus longtemps, ce qui est toujours mieux que d'avoir une porte détruite en quelques minutes, ventilant alors le local. En plus, en badigeonnant la porte, nous créons une zone fraîche, toujours agréable dans de telles circonstances. Par contre, difficile d'espérer voie l'eau s'évaporer sur la porte! Si c'est le cas c'est que la porte est déjà très chaude ce que vous aurez déjà déterminé rien qu'en l'observant ou en la touchant.

Le badigeonnage de la porte (painting) se fait avec la méthode déjà employée lors de la progression (sur le meuble qui pyrolyse) ou dans l'attaque pusling-penciling: la lance reste en faible débit et la tête de diffusion est simplement tournée tout à droite pour avoir un jet droit. Partiellement ouverte, la lance va produire un jet assez "mou". En tenant la lance par le tuyau, le porte lance pourra ainsi mouiller la porte sans se lever.

Note: ce principe du jet "mou" est facile à réaliser avec les lances dont le débit se règle avec une bague. Avec les lances à débit par la poignée, l'opération est beaucoup plus délicate. Mais comme en plus ces lances ne produisent que des grosses gouttes et sont donc peu adaptées au refroidissement de la phase gazeuse du feu, autant ne pas les utiliser autre part qu'en extérieur!

Observer la porte, la toucher, l'arroser. Trois étapes essentielles pour tenter de déterminer la situation. Pour s'en rappeler, juste se souvenir du mot mnémotehcnique: ORTA (Observation Rotative, Toucher, Arroser).

Préparer l'ouverture
Les deux hommes sont en place. L'un face à l'autre, ils communiquent facilement et sont bien d'accord sur le protocole à suivre.
L'équipier tient la poignée. Il peut ajouter une petite sangle pour maintenir celle-ci. Le porte lance est contre la porte et tient sa lance bien verticalement. Celle-ci est toujours réglée en petit débit, avec un jet assez étroit (jet d'attaque), donc un jet est donc un peu plus étroit que pour la progression: il correspond au cran central de certaines lances ou bien au dessin du jet d'attaque.
Le porte lance va donner rapidement deux coups de lances, verticalement. L'objectif n'est pas de toucher la porte car celle-ci a déjà été arrosée, mais de suspendre des gouttes en l'air. Ces gouttes vont former une zone fraîche, qui va intercepter les fumées sortant lors de l'ouverture.
Mais sachant que les deux hommes sont contre la porte, il est nécessaire d'avoir un jet assez étroit. En effet, si le jet est trop ouvert, sa périphérie va heurter la porte et en plus, il va retomber en parapluie, sans créer de gouttes au-dessus des intervenants. Pour éviter cela, il faut donc un jet plus étroit, mais en contrepartie, ce jet plus étroit ne va pas couvrir une surface assez grande. Pour cette raison, il faut donner deux coups de lance. Placé perpendiculairement à la porte, le porte lance a beaucoup plus de facilité pour envoyer ces deux coups de jet, parallèlement à la porte. Il donnera le premier pratiquement au-dessus de lui, et le second un peu plus au-dessus de son équipier.

Immédiatement après la seconde impulsion, l'équipier ouvre la porte d'environ 15cm, le porte lance se penche et donne un coup de jet un peu plus long par l'ouverture, vers le haut. Il referme sa lance, se remet en arrière et immédiatement l'équipier referme la porte. L'opération n'a duré qu'une fraction de seconde: l'apport d'air a été négligeable et l'eau a été projetée dans la zone la plus chaude. En même temps, les gouttes projetées avec les deux impulsions sont retombées lors de l'ouverture, piégeant les éventuels gaz chauds qui sortent par le haut. Le jet, assez étroit a permis de viser dans l'ouverture de la porte, sans arroser l'équipier. Quelques secondes d'attente permettent d'assurer un bon refroidissement à l'intérieur: les gouttes ont le temps de monter en température, puis de se vaporiser. Le temps d'ouverture a été très court et n'a permis d'envoyer que très peu d'eau, donc de générer très peu de vapeur dans le local. D'autant que cette eau a été envoyée à petit débit: le volume gagné en contractant les gaz est donc supérieur au volume perdu par la vapeur, ce qui évitera l'effet "piston" à la prochaine ouverture.

Remarque: Les gestes doivent être synchronisés: il est évident qu'il ne faut pas attendre entre les deux impulsions en haut et l'ouverture de la porte, sinon les gouttes seront au sol au moment de l'ouverture et ne piégeront pas les gaz chauds!

Après chaque cycle, Les deux hommes dialoguent, indiquent si l'aspiration en partie basse a été violente, à quelle hauteur a été vu le plafond de fumée etc...
S'il y a des signes de backdraft (ré-aspiration importante, fumée très chargées, pulsantes...), l'opération peut être réalisée pendant un temps très long (parfois une heure). Dans le cas d'une simple stratification de fumée, le cycle est généralement réalisé deux ou trois fois.

Entrer dans le local
Lorsque la situation est jugée suffisamment correcte pour entrer, les deux hommes s'en informent mutuellement. Là encore la communication est impérative ! Ne pas oublier que l'opération se réalise sous ARI, dans la chaleur. Une indication franche est nécessaire pour déterminer si l'entrée dans le local est décidée: signe de la main confirmé par un signe franc de la tête par exemple.

Le cycle est alors réalisé une dernière fois. Juste après l'impulsion longue dans le local, le porte lance ferme sa lance tandis que l'équipier lâche la porte, pour ouvrir celle-ci. Si la porte s'ouvre en tirant, il la tire totalement pour laisser passez le porte lance.
Celui-ci entre rapidement. Si possible, il corrige le jet de sa lance car celui-ci est légèrement trop étroit pour une gestion correcte des gaz chauds. Pour cela, il lui suffit de tourner la tête de diffusion tout à gauche puis de revenir vers la droite, d'un centimètre environ. Il pulse alors immédiatement dans les gaz chauds, au plafond, ce qui refroidira l'atmosphère et lui laissera le temps de juger de la situation.
L'équipier lui fourni le tuyau et entre à son tour. Dans la majorité des cas (voir chapitre suivant), il doit refermer la porte derrière lui. Entrés dans le local, les sapeurs-pompiers vont pouvoir procéder à l'attaque. Le mode d'attaque choisi dépendra de la ventilation. Si elle est correcte, l'attaque combinée sera possible, le choix du geste (Z, O ou T) dépendant alors de la surface à traiter. Si le local est mal ventilé, ou s'il est ventilé mais que le porte lance préfère travailler plus tranquillement, il utilisera l'attaque alternant "Pulsing et Penciling".

Communication claire pour indiquer que l'on entre. Après le dernier cycle, la porte est ouverte et les deux sapeurs-pompiers pénétrent dans le local. L'équipier referme la porte et le porte lance refroidit les gaz chauds par de petites impulsions (jet diffusé ouvert à 60°, débit minimum).

Anti-ventilation ou ventilation?
La mise en place d'un ventilateur d'attaque (PPV ou VPP) ne doit jamais se faire de façon systématique. La mise en place de cet appareil et son démarrage (le faire tourner au ralenti) peuvent se faire rapidement. Mais une analyse extrêmement précise de la situation, de la dimension des sortants, de la position du foyer, des risques d'expansion etc... doit être réalisée avant son utilisation. L'attaque d'un feu de local doit se réaliser avec puissance et rapidité, avec des intervenants placés dans la structure, qui seront donc fortement dépendants de la ventilation. Si l'analyse a été bien faite et confirme l'usage de la ventilation, celle-ci sera d'un grand bénéfice. Si par contre l'analyse n'a pas été faite correctement, l'usage de la ventilation mettra les intervenants en danger, sans moyen pour les secourir.
En clair, lorsque l'on est pas certain à 100% de la ventilation, il ne faut pas l'utiliser! Nous lui préférerons alors l'anti-ventilation. D'ailleurs, la meilleure solution consiste à toujours commencer par l'anti-ventilation, ce qui laissera le temps de mettre les moyens en place, de permettre une analyse correcte (sans précipitation !) de la situation, et de décider sereinement de l'usage ou non des ventilateurs.

Une fois entré dans le local, l'équipier restera à la porte et fournira le tuyau au porte lance. Il gérera aussi la porte. Il y a quatre cas:

  • Local fermé, pas d'usage de ventilateur. Dans ce cas, il faut fermer le local pour empêcher l'apport d'air et attaquer avec la méthode alternant pusling et penciling. Procédant ainsi à l'anti-ventilation, les sapeurs-pompiers vont diminuer l'intensité du feu, qui sera plus facile à combattre.
  • Local fermé, usage d'un ventilateur d'attaque. D'abord, c'est une erreur tactique évidente puisque le ventilateur ne doit être utilisé qu'avec des sortants bien définis et assez grands! Dans ce cas, il faut immédiatement fermer la porte sinon l'apport d'air va alimenter le feu et surtout, la surpression va faire ressortir violemment les gaz chauds par la porte donc sur les deux hommes!
  • Local ouvert, bien ventilé, pas de ventilateur d'attaque. Là encore, autant fermer la porte. Si le local est ouvert il sera possible d'attaque en produisant de la vapeur (méthode combinée). Si la porte reste ouverte, une partie de la vapeur pourra s'y engouffrer et brûler les intervenants. En conservant la porte fermée, la vapeur sortira par les ouvrants qui doivent être situés de l'autre côté du foyer.
  • Local ouvert et ventilation d'attaque. Dans ce cas, et à condition que les ouvrants soient suffisants, il faut garder la porte ouverte. Mais c'est à l'équipier de faire son choix. S'il se rend compte que les fumées reviennent vers la sortie ou qu'après une attaque combinée le résultat n'est pas probant, c'est sans doute que les sortants ne sont pas assez efficaces. Il faudra alors fermer la porte et attaquer en alternant pulsing - penciling.

Conclusion
Le passage de porte est une opération complexe, mais le danger l'est également. Une bonne préparation et un bon entraînement sont nécessaires afin de garantir une sécurité maximale et assurer un travail confortable et efficace.


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