Récapitulatif de tous les phénomènes...

Date: 29 décembre 2006 à 23:07:28
Sujet: Pédagogie et formation


Au fur et à mesure de la rédaction de documents, nous nous rendons compte que la vue d'ensemble des phénomènes échappe à pas mal de personnes et plus spécialement aux nouveaux venus sur ce site. Rapidement, le nombre de phénomènes et les détails parfois assez minimes qui les distinguent, laissent penser à une véritable jungle, dans laquelle il est bien difficile de se retrouver.
Ce document va donc récapituler l'ensemble des phénomènes de façon simple et rapide en fournissant des liens vers les documents concernés, qui sont disponibles ici, en téléchargement. Le but de cet article est donc seulement de « dégrossir » l'approche des phénomènes, et de donner quelques bases qui permettront par la suite d'étudier ces autres documents afin d'affiner la compréhension ou de faire la différence entre des événements, parfois très proches.

Progressions Rapides du Feu
C'est le terme générique, qui englobe la totalité des événements dont nous parlons sur le site flashover.fr. Le document national de référence utilisé par les sapeurs-pompiers Français (et uniquement par eux) traite des « Accidents thermiques » [5]. Cette terminologie nous semble mal appropriée, pour les raisons suivantes : soit elle laisse croire que ces phénomènes déclenchent toujours des accidents, ce qui est faux, soit que ces phénomènes sont eux-mêmes des accidents dans le déroulement d'un feu, ce qui est également erroné.
Plutôt que de chercher un nouveau terme, nous avons pris le parti d'utiliser la traduction exacte d'un terme Anglo-Saxon : Rapid Fire Progress (RFP), donc en Français Progression Rapide du Feu (PRF), car les feux dont nous parlons ici ont la particularité d'avoir un développement qui va en s'accélérant et dont la vitesse est très particulière, entre autres à cause de la présence du plafond. Tous ces phénomènes sont liés au fait que la chaleur s'accumule au sein d'un milieu enfumé, que les fumées sont combustibles [6] [7] [17] et au problème de l'apport plus ou moins important de comburant [13].
Ces phénomènes se produisent dans des structures et l'approche du local impliqué ne doit se faire qu'avec de grandes précautions [15].

Les trois familles
Les PRF sont classés en trois grandes familles.

  • Flashover
  • Backdraft
  • FGI (Fire-Gas-Ignition )

Nous utilisons les termes dans leurs langues d'origine, sans les traduire, et vous allez rapidement comprendre pourquoi.

Flashover
Le flashover est un événement soudain et très court. Lors du développement d'un feu, il correspond à l'instant (quelques secondes) de transition entre la phase de croissance et la phase de plein développement du feu. Dans le local, cela se traduit par le passage d'un foyer localisé limité à un ou plusieurs endroits de la pièce, à un feu pleinement développé qui comprend tout le mobilier contenu dans cette même pièce et ce en un laps de temps très court. Typiquement le canapé brûlé, produit des fumées, celles-ci sont piégées par le plafond, montent en température, puis commencent à chauffer le reste du mobilier de la pièce qui n'est pas directement impliqué par le foyer principal ni par son rayonnement. Lorsque le local sera soumis à un flux thermique de l'ordre de 15 à 20 kW au m2, il se produira un phénomène très particulier, avec la production d'une seule grande flamme, dont le volume sera supérieur à celui du local, et qui sortira donc par les ouvertures. Ce moment d'émission de cette grande flamme, qui s'accompagne généralement de la rupture des vitres, c'est le flashover.
Il dégage une grande puissance thermique qui, dans un feu de local, ne dépend pas de la quantité de combustible, mais du volume du local [16].

Derrière ce terme générique se trouvent quelques variantes.
Le flashover « classique » ne se produit pratiquement qu'en expérimentation : il nécessite une aération assez importante et il a lieu dans un délai d'une quinzaine de minutes (au grand maximum) à partir de la mise à feu initiale (et pas de l'appel des secours!). Donc, toujours avant l'arrivée des secours. Le « flashover induit par la ventilation » ou par le changement de ventilation, est un flashover retardé qui se produit dans un local dont la ventilation est suffisante pour ne pas faire mourir le feu, mais trop faible pour permettre une bonne ventilation. Le feu ne produit donc pas assez d'énergie et le flashover n'est pas atteint. Ce sont généralement les habitants de la maison, ou les sapeurs-pompiers qui, lors de leurs déplacements, vont modifier les conditions aérauliques [23] de la structure et permettre au développement du feu de reprendre une progression «normal » et d'atteindre ce seuil.

Par commodité de langage, lorsque nous parlons de flashover, nous parlons assez souvent du flashover «induit par la ventilation».

Les signes annonciateurs du flashover sont la présence d'une forte chaleur en provenance du plafond et un plafond de fumée très dense, qui descend progressivement. Lorsqu'il s'écroule (descente de 10cm à la seconde par exemple), la seule chance de survie réside dans la fuite immédiate ou, si cette fuite n'est pas possible la mise en position d'auto protection du binôme.... Les roll-over, rouleaux de flammes dans les fumées, ne sont pas forcément présents entre la fumée et l'air frais, mais peuvent se trouver totalement masqués par la fumée. Pour ne pas se faire surprendre, il faut réaliser une lecture du feu [2] [3]. L'action principale consiste à refroidir les fumées en jet diffusé, débit minimum en produisant de courtes impulsions : celles-ci ayant une faible portée, refroidiront les fumées sans toucher les murs [3] [4] [14].

Note aux sapeurs-pompiers Français

Nous ne parlons jamais "d'embrasement généralisé éclair" ou d'EGE tel que défini dans quelques formations purement Française et ce pour deux raisons :

Nous nous sommes aperçus que lorsque nous échangions avec des pompiers francophones et / ou des scientifiques, même Français, il nous fallait retranscrire ce terme par Flashover. Le terme "embrasement généralisé éclair" est donc restreint à la communauté sapeurs-pompiers "franco-française" semble-t-il et de ce fait, il est difficile d'échanger avec des personnes qui n'appartiennent pas à cette communauté. Or comme vous avez dû le remarquer, plus le temps passe et plus nous échangeons largement.

De plus, le terme d'embrasement est proche du terme embrasé. En utilisant ces termes, il semble donc logique de se dire « s'il y a un embrasement, le local sera embrasé » et de même « si le local est embrasé c'est qu'il y a eu un embrasement ». Or, c'est faux. Si le plafond est percé (par exemple) et que les fumées s'échappent, il n'y aura pas d'accumulation de fumée donc pas de radiation du plafond de fumées vers le bas. Il n'y aura donc pas de flashover. Mais rien n'empêchera le feu de se communiquer d'éléments en éléments et au bout d'un moment, nous obtiendrons un local totalement en feu. Nous aurons donc un local « embrasé » sans avoir eu « embrasement ». Les termes sont donc ambigus et nous préférons donc parler de flashover et de feu pleinement développé.

Flashover : erreur de description
Lorsque les Suédois ont commencé à étudier ces phénomènes dans les années 1980, ils ne se doutaient sans doute pas que les Américains l'étudiaient depuis les années 1940, entre autres dans le contexte des armes incendiaires. Face à un ensemble de phénomènes assez étonnants, tels que des flammes qui semblent flotter loin du foyer, certains ont commencé à nommer « flashover» tout ce qu'ils observaient. Depuis les écoles Suédoises ont admis la définition mondialement admise, tant par les sapeurs-pompiers que les scientifiques ou les enquêteurs, mais certains formateurs (en France entre autres) continuent à promouvoir l'ancienne information. Il arrive ainsi que l'on entende, durant un entraînement en caisson « Oh ! regarde le joli flashover» ou « on peut voir le début du flashover... » lorsqu'une flamme descend doucement du plafond. C'est une erreur de vocabulaire qu'il convient de ne plus commettre !! Une flamme qui descend doucement se nomme « flamme fantôme » [20] ou suivant son déplacement, « ange danseur », mais en aucun cas « flashover » !

La définition faite par la NFPA 921-2004 est claire :
« Flashover : Une phase transitoire lors du développement d'un feu compartimenté dans lequel les surfaces exposées au rayonnement thermique atteignent la température d'ignition plus ou moins simultanément et le feu se propage rapidement dans tout l'espace, aboutissant à la pleine participation de la pièce ou la participation totale du compartiment ou du secteur clos."

Backdraft
Le backdraft est un phénomène explosif (de type déflagrant). Le local est sous-ventilé, le feu ne dispose pas d'assez de comburant pour survivre et il s'éteint. Le courant de convection, c'est-à-dire le courant d'air qui vient de l'ouverture, va vers le feu, et monte le long de la colonne de flammes, disparaît. Le local étant chaud, les objets continuent à produire des gaz de pyrolyse. A l'ouverture de la porte, l'air frais va pénétrer par le bas. Il va y avoir retour du courant d'air donc du courant de convection. La mise à feu des gaz présents dans le local va produire une déflagration qui va se traduire par l'expulsion d'une boule de fumée et de flammes de l'intérieur du local sinistré vers l'extérieur. Retour se dit « back » en Anglais et courant d'air se dit « draugh ». Le phénomène qui va se produire est donc un backdraugh. Non, ne soyez pas étonné, il n'y a pas de faute d'orthographe ! Le terme Anglais est bien backdraugh. Le terme backdraft est en l'Américanisme, mais désigne exactement la même chose.
Il existe deux modes de déclenchement du backdraft: soit par auto-inflammation des gaz, soit par retour des flammes sur les braises [18].

Dans certains documents, seul le backdraft par auto-inflammation est considéré comme le « vrai backdraft », tandis que dans d'autres documents c'est celui par retour des flammes sur les braises qui est considéré comme « le vrai ». Nous avons opté pour l'avis de Shan Raffel (MiFire), Président de la branche Australienne de l'IFE (Institute of Fire Engineering) : le backdraft se produit dans le local en feu, avec un retour du courant de convection, lors de l'ouverture d'un ouvrant. Il possède donc simplement deux modes de déclenchement. A noter cependant que l'affirmation du document « officiel » Français, par laquelle la simple présence de braises suffirait pour déclencher l'explosion, n'a jamais été prouvée et semble provenir d'une erreur d'appréciation ou de lecture des documents scientifiques [9].

Variantes du backdraft
Il existe aussi des variantes : le high-pressure backdraft est un backdraft qui se produit dans un local dont une ouverture est face à un vent assez fort. L'explosion est très violente car il y a une forte surpression. Le forced-draft [1] est un peu semblable et génère un front de flamme qui va persister parfois plusieurs minutes. Le backdraft « naturel » [8] [19] est un backdraft qui se met en place tout seul, dans un local ouvert, en laissant l'impression que le feu s'est éteint tout seul et qu'il n'y a plus rien à craindre.

Flashover ou backdraft?
Les descriptions et les termes ne sont pas ambigus et pourtant. Si nous ouvrons la porte d'un local en mode « pré-backdraft », et qu'au moment du déclenchement, le mélange combustible / comburant est idéal, nous aurons une explosion très forte. Si le mélange n'est pas idéal, nous pouvons imaginer une inflammation assez « molle» qui pourrait faire penser à un flashover.
Nous pouvons donc dire qu'il y a d'un côté le flashover, de l'autre le backdraft et entre les deux ce que Lasse Bengtsson et Björn Karlsson ont défini comme étant la « zone grise » ("zone d'ombre"), c'est-à-dire tout un ensemble de variations. Au milieu de cette zone, il devient difficile de dire de quel phénomène il s'agit. Disons que ce qui est surtout intéressant c'est de comprendre ce qui se passe, quand cela peut se passer et comment, de façon à mener des actions curatives efficaces. Et peu importe si le terme est difficile à trouver.
A noter que dans certains pays, il y a confusion des deux termes. Ainsi en Allemagne, tout est nommé « flashover », que ce soit ce que nous appelons effectivement flashover, ou que ce soit un backdraft. C'est ce qui explique que l'on trouve des vidéos Allemandes intitulées « flashover » et qui montrent. un backdraft !

FGI
Les FGI (Fire Gas Ignition) constituent une troisième famille de phénomènes.

Nous savons maintenant que le flashover est une inflammation des gaz, sans explosion, qui se déroule dans le local ou se trouve le foyer et que le backdraft est un phénomène explosif, provoqué par l'apport de comburant (ou son rééquilibrage) dans un local qui contient l'énergie potentielle (chaleur des fumées ou braises allant redonner des flammes) pour faire démarrer la combustion. Mais la encore, il se produit dans le local contenant le foyer.

C'est ce dernier point qui fait la différence car les phénomènes de la famille des FGI se déroulent hors du local impliqué. Ces FGI (inflammation des gaz combustibles) se rangent globalement en deux sous-familles :
La première, c'est celle des flash-fire. C'est l'inflammation non-explosive d'une zone de fumée, pré-mélangée au comburant. Exemple : feu dans une chambre, dont la porte est entre-ouverte. Les fumées s'échappent et vont envahir le couloir. Les secours avancent et ouvrent la porte sans prendre de précaution. A l'ouverture, le feu reçoit du comburant, prend un peu d'ampleur. Des flammes sortent au niveau de la porte et atteignent la zone de fumée du couloir. Cette zone de fumée est combustible et il y a présence de comburant. Le front de flamme va donc parcourir très vite ce mélange gazeux, en amenant le feu dans le couloir. Ce phénomène d'inflammation des gaz chauds, c'est un flash-fire.

La seconde famille c'est celle des smoke-explosion
Littéralement, la « smoke-explosion », c'est l'explosion de fumée. Lorsque nous parlerons d'explosion de fumée nous parlerons donc de la « smoke-explosion » et pas du backdraft.
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La smoke-explosion, c'est la même chose que le flash-fire, mais sous une forme explosive. Exemple : Le feu prend dans une chambre, le mur de celle-ci est chauffé de façon très intense et le canapé qui se trouve dans l'autre pièce, se met à dégager des fumées de pyrolyse, tout simplement parce qu'il est chauffé au travers de la cloison. Or, la pyrolyse dégagera beaucoup de gaz, très combustibles. En plus, le phénomène de pyrolyse ne consomme pas de comburant. Au bout d'un certain temps, le local sera donc rempli de fumées combustibles et de comburant. Il ne manquera plus que l'énergie pour démarrer la réaction. Cette énergie peut-être apportée par le déplacement d'éléments chauds lors du déblai, par l'effondrement d'une partie de la cloison etcLe mélange fumée / comburant n'a pas besoin d'être chaud pour prendre feu. Un tel phénomène peut donc se produire plusieurs heures après l'extinction du foyer qui se trouve dans un autre local.

Backdraft ou « explosion de fumée » ?
Dans la terminologie Française utilisée en 2003, le terme backdraft avait été traduit de façon très malencontreuse par « explosion de fumée ». Mais si nous retraduisons le terme « explosion de fumée » en Anglais, cela donne « smoke-explosion ». Or ce phénomène de « smoke-explosion» existe, et n'a pas grand chose à voir avec le backdraft. Traduire engendre à nouveau une confusion, ce qui explique que nous conservons le terme backdraft.

Des événements plus ou moins précis
La définition exacte et stricte des termes est assez difficile. Mais il y a quand même quelques règles qui vous permettront d'être compris des sapeurs-pompiers, des enquêteurs et des scientifiques

  • Le flashover est un événement court, qui se déclenche par la chaleur et qui a lieu dans le local en feu.
  • Le backdraft se déclenche par retour du courant d'air dans le local en feu
  • Le flash-fire et la smoke explosion se produisent dans des zones où la fumée est pré-mélangée au comburant. Ils se déclenchent par apport d'énergie, dans un local autre que celui en feu.

Bien sûr, si le local en feu est éteint, que le déblai commence et que les résidus émettent des fumées blanches de pyrolyse, l'apport d'une source d'énergie extérieure, provoquera une explosion. Pouvons-nous parler de backdfraft, puisque nous sommes dans le local impliqué, ou parlons-nous de de « smoke explosion », puisque nous sommes en présence d'un local avec un prémélange combustible / comburant et un apport d'énergie ? Dans ce cas, nous parlerons sans doute de smoke-explosion, car le courant de convection ne sera pas « revenu ».
De même, entre un flash-fire qui va faire « vlouf » dans un couloir, et une smoke explosion qui va faire « boum », il existe tout un ensemble de variantes possibles. Dans des cas extrêmes, le terme sera facile à trouver, mais dans d'autre cas, ce sera plus difficile.

Approche pédagogique
L'approche pédagogique des phénomènes est toujours délicate. Il faut d'abord une bonne connaissance de ceux-ci afin de répondre aux questions des stagiaires, et il faut également des outils pédagogiques adaptés. En plus des nombreux documents, nous avons mis quelques outils à disposition :

  • Le kit mini-maison décrit la construction et l'utilisation d'un mini-simulateur. Le kit contient des plans, des documents pour le formateur, un PowerPoint lui permettant de récapituler les observations etc. [12]. L'usage de ce kit se fait sur une durée d'environ 1H30.
  • Le kit Blaina est un bon exercice tactique qui prend comme base une intervention réelle. Les stagiaires analysent la situation, indiquent les actions qu'ils auraient entreprises. La situation est ensuite analysée avec un PowerPoint qui explique ce qui s'est réellement passé. L'ensemble dure environ 1 heure, mais il est souhaitable de prévoir un peu plus de temps car les discussions qui suivent sont souvent très animées et très intéressantes [21].
  • Kit d'observation. Toute une collection d'outils d'exercices seront mis progressivement en ligne sur le site, dans la zone « Téléchargement / Kit pédagogiques ». Ils sont composés d'un PowerPoint qui montre des situations devant lesquelles les stagiaires doivent réagir, faire des remarques, des observations La diapositive suivante donne les réponses. Ces PowerPoint (comme tout ceux diffusés sur le site) sont abondement commentés afin d'aider les formateurs durant la présentation [22].

Bibliographie du site

Tous les document suivants sont disponible dans la section téléchargement, ou sous forme d'articles.

1 - Le Forced-Draft. Article sur le backdraft par sur-ventilation d'un ouvrant
2 - La lecture du feu. Comment apprendre à regarder le feu
3 - Attaque 3D pour feux 3D. Usage du jet pulsé contre les feux de locaux.
4 - Usage des lances. Article sur l'impact du débit sur la porté et la qualité du jet.
5 - Guide Nationale de Référence pour les sapeurs-pompiers Français
6 - La combustion des fumées. Article de Ed Hartin
7 - Les fumées. Dangers, volume, composition par David Cuttelod.
8 - Le backdraft naturel. Explication sur le backdraft qui se met en place dans un local ouvert
9 - Anatomie d'un backdraft. Analyse , image par image de deux backdraft sur des mini-simulateurs.
10 - Flashover et terminologie associée. Un tour d'horizon rapide des termes
11 - Flashover. Un terme générique. Document traitant des différents phénomènes.
12 - Kit Mini-maison. Comment construire et gérer un mini-simulateur.
13 - Influence du froid sur le déclenchement des phénomènes de progression rapide du feu
14 - La prévention du flashover par les impulsions courtes
15 - Jet-Débit-Action. Le choix du bon débit, bon jet et de la bonne action dans le cadre de l'approche des feux de locaux.
16 - Eau et Feu. Calcul de la puissance émise par un local et des besoins en eau pour lutter en toute sécurité.
17 - Les fumées. Article décrivant la production de fumée.
18 - Qu'est ce qui déclenche le backdraft. Article expliquant les deux modes de déclenchement.
19 - Le backdraft naturel. Article présentant le phénomène.
20 - Les flammes fantômes. Article décrivant ce phénomène.
21 - Kit exercice tactique / Accident de Blaina
22 - Kit d'observation sur les flammes
23 - Les passages d'air. Le danger des ouvertures non contrôlées.

De nombreux autres documents sont disponibles sur le site. N'hésitez pas à fouiller ou à poser des questions !
Pierre-Louis Lamballais





Cet article provient de Flashover - Backdraft - Fire Gas Ignition
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File: /home/flashove/www/mainfile.php
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