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JOG: l'efficacité pour forcer les portes
- Paru le 21/12/2006
- Déjà lu 28632 fois.

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Cours formateurs flashover - Draguignan (Canjuers-France) 2009
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Pédagogie et formation bulletArticle: La tactique - Cours II


Dans le premier article nous avons fait un tour d'horizon rapide de la stratégie, de l'opératif et de la tactique. Nous avons vu qu'il nous fallait déterminer non pas une action générale mais une suite d'actions qui, en s'enchainant, vont se favoriser les unes les autres pour nous permettre d'atteindre progressivement notre but final.

Classer
La difficulté face à un incendie, c'est généralement que la situation semble complexe. On ne voit pas tout, on n'a pas toutes les informations et ceci complique le choix des actions. La solution va consister à découper le problème en éléments plus petits. Pour chaque élément nous réaliserons une analyse des risques et des bénéfices. Nous pourrons alors déterminer, pour chaque élément, la "rentabilité potentielle" d'une action qui y serait menée. Il "suffira" ensuite de classer ces éléments en fonction de cette rentabilité potentielle et de les traiter dans cet ordre.
Mais pour cela, il nous faut d'abord découper le problème. Celui-ci étant lié à un espace physique (le lieu de l'intervention), c'est par une découpe du lieu que nous obtiendrons une découpe du problème.

Note: le seul ouvrage que nous ayons trouvé, qui traite de la tactique de façon simple et adaptée au niveau chef d'agrès incendie, c'est "le combat des petites unités", du Colonel Gérin. N'étant plus édité depuis longtemps, cet ouvrage est devenu difficile à trouver. Le principe de découpe, d'analyse etc... dont il sera question ci-dessous, est directement inspiré de cet ouvrage.

Le terrain
La première opération va consister à regarder, à avoir une vue d'ensemble sur "le terrain". Il faut commencer par admettre que le terrain ne nous dit rien de précis, il ne donne aucune information: il est neutre. Nous pouvons répondre que le terrain nous donne des informations par exemple que l'on peut, face à une maison, imaginer la fumée qui sort. Mais justement, nous "imaginons". Face à un paysage de campagne, le chasseur imaginera qu'il puisse y avoir des perdrix dans tel bosquet, le pécheur imaginera les truites dans  la rivière et le peintre imaginera venir ici avec son chevalet. Nous allons tous imaginer des choses différentes, face au même terrain. Mais le terrain en lui même ne dit rien du tout. Il est donc neutre.
En terme d'exercice, il est bon de se promener sur le territoire opérationnel, donc sur le terrain et de simplement regarder, afin d'apprendre à non plus seulement "voir" mais bien à observer. Sans pour autant en déduire quoi que ce soit, mais en sachant décrire de façon simple et précise, ce qui est vu.

Les compartiments
Le terrain c'est donc l'ensemble géographique. C'est une zone trop grande pour être analysée car elle recèle trop d'éléments.

Il est très intéressant de constater que les interventions peuvent se classer en 2 groupes. En premier le groupe des interventions qui se déroule sur un espace physique que l'on peut embrasser d'un seul regard et en second les interventions qui se déroulent sur un espace physique dont l'observation globale, à partir d'un point unique, est impossible. C'est surtout ce second cas qui nous intéresse car c'est lui qui pose le plus de difficultés.

Nous allons donc découper ce terrain en zones plus petites, appelées "compartiments".
Un compartiment se défini d'une façon simple: c'est une zone sur laquelle, à partir de chacun de ses points, il vous sera possible de voir tous les autres points. Concrètement, vous devez pouvoir vous mettre n'importe où sur un compartiment et voir à chaque fois 100% du compartiment sur lequel vous êtes.
Observons les images ci-dessous. Sur la première nous avons déterminé, autour de l'habitation, plusieurs compartiments. Nous constatons qu'à partir de 100% des points de chaque compartiment, nous avons la vision de 100% des points de ce même compartiment. Nous avons là des compartiments bien délimités.


Sur la seconde image, nous avons placé un compartiment en rouge. Pourquoi? Parce que ce n'est pas un bon compartiment. En effet, à partir du point A, qui appartient à ce compartiment, nous ne pouvons pas voir le point B alors que celui-ci appartient pourtant au même compartiment que le point A.
Pourquoi est-ce gênant? Parce que nous allons nous travailler compartiment par compartiment et que nous allons déléguer l'action à notre personnel, compartiment par compartiment. Dans un compartiment, nous allons donc avoir une seule action menée par un groupe réduit. Si, pour les besoins de son action, ce groupe réduit se déplace au point A, il ne pourra plus surveiller le point B sur lequel un événement imprévu pourra se produire, se développer et mettre en péril toute l'organisation sans que notre équipe ne puisse s'en rendre compte à temps.
La découpe en compartiments (sous entendu en compartiments corrects!) est donc très importante.

Pour s'entraîner, il ne faut pas commencer sur le terrain. Prenez plutôt des plans de maisons ou d'entreprises et exercez vous à y dessiner les compartiments. Voir par exemple  http://www.maison.com/plan-de-maison/. Si vous donnez cours, une solution simple consiste à imprimer ces plans en autant d'exemplaires que vous pensez avoir d'élèves. A chaque élève, distribuez le premier plan (afin que tout le monde ait le même) et distribuez aussi une feuille plastique et des crayons effaçables. Demander ensuite à vos élèves de dessiner les compartiments, sur la feuille plastique avec le plan en dessous. La correction sera faite par un des élèves, au tableau avec un vidéo-projecteur qui projète le plan sur un tableau blanc, ce qui permettra d'écrire dessus.
Une fois la correction achevée, faite effacer les feuilles plastiques, distribuez le second plan et recommencez.
Ce genre d'exercice est facile à faire et permet d'appréhender le problème.

Dans un  second temps, vous pourrez compliquer en proposant non plus des plans vus de dessus, mais des représentation 3D des maisons. Il vous suffit de taper "maison 3D" sous Google image pour avoir le choix. A partir de ces vues 3D, les élèves devront dessiner rapidement le plan 2D (donc vu de dessus) et y placer les compartiments.

Ce second exercice va avoir 2 résultats. En premier, il va permettre aux élèves de voir les choses sous un autre angle et cela va faciliter leur approche terrain. Ensuite, ils vont inévitablement se rendre compte qu'à partir de certains vues 3D (voir la photo de la villa avec piscine par exemple), il est matériellement impossible de dessiner le plan 2D car la vue 3D masque des façades de l'habitation. Loin d'être un problème, ceci est plutôt d'un gros intérêt pédagogique car cela vous permettra de démontrer l'absolue nécessité d'une reconnaissance complète de l'habitation afin d'en voir les différentes faces: sans reconnaissance complète, pas de plan 2D et sans plan 2D, pas de compartiments!

Enfin, dernière étape, celle consistant à se rendre sur le terrain, d'abord face à des habitations simples, pour demander aux élèves d'en faire rapidement le plan 2D et d'y placer les compartiments. Il faut pour cela des petites planchettes de bois, des crayons et des feuilles quadrillées. Vous pourrez ensuite passez à des habitations plus complexes.

Notons que le but n'est pas de faire un joli dessin mais de faire un croquis, utile. Utile pour ensuite déterminer les zones de dangers et d'actions, mais également très utile pour communiquer avec le personnel en lui montrant sur le schéma où il doit se placer afin de réaliser son action.

Remarque: sur un même terrain, le découpage des compartiments peut varier en fonction des conditions. De nuit par exemple, les compartiments sont plus petits puisque nos possibilités de vision sont plus faibles et que la taille de nos compartiments dépend de notre capacité à en voir les éléments.

Le feu
Une fois que nous saurons déterminer facilement et rapidement nos compartiments, nous pourrons y placer "le feu". En fait de feu, nous parlons ici du "feu" en terme militaire. Le feu, c'est le feu que l'on reçoit (donc les obus qu'on se prend sur la figure) et le feu que l'on produit (donc les obus qu'on envoi).
Il y a a deux choses:
  1. Une qualité de feu subit. C'est-à-dire une définition du niveau de danger, de souffrance que nous allons endurer à cause des éléments qui sont contre nous. Si l'ennemi a une grande facilité à nous envoyer des obus, notre niveau de souffrance sera élevé. A l'inverse, s'il n'a pas cette facilité, notre niveau de souffrance sera faible.  En incendie, nous pourrons déterminer ce niveau de danger en fonction de multiples paramètres: risque d'écroulement d'un mur, zone fortement encombrée donc avec progression difficile (ordures, broussailles...), zone vers laquelle souffle un vent violent ce qui peut amener la propagation du feu sur la zone, etc... Nous pouvons noter ce niveau avec des signes "moins". Un seul signe moins indique que nous allons potentiellement "peu souffrir", deux signes moins que nous allons un peu plus souffrir etc... Nous pouvons également noter ce niveau avec une valeur numérique négative, par exemple de 0 à -5.
  2. Une qualité de feu émis. C'est-à-dire une définition du niveau de danger que nous faisons subir à l'autre. C'est notre facilité à envoyer des obus, de façon efficace. En incendie, c'est la facilité que nous aurons d'établir nos moyens et de les utiliser avec efficacité. Nous pouvons noter ce niveau avec des signes "plus". Un seul signe plus indiquant que notre effort pourra avoir un effet assez faible, deux signes plus que cet effet sera plus élevé et ainsi de suite.  Nous pouvons également noter ce niveau avec une valeur positive, de 0 à +5 par exemple.
Le contact
Le mélange des définitions de compartiments et de nos définitions de feux, donc le mélange d'une définition de lieu et d'une définition d'action (subie ou réalisée) va donner ce que nous appelons le "contact".
En prenant un compartiment et en regardant les points positifs et les points négatifs, nous allons déterminer le niveau de "contact" de ce compartiment.
Militairement, le principe est simple à comprendre: un compartiment sur lequel l'ennemi a toute les facilités pour nous envoyer des obus (-5 pour nous car nous subissons beaucoup) et sur lequel nous avons de grandes difficulté pour lui envoyer les notre (+1 pour nous car nous avons du mal à réaliser notre action), est un compartiment avec un contact très négatif (-5 + 1 = -4) et nous devons rapidement nous en dégager. Un compartiment où l'ennemi peut facilement envoyer des obus (-4 pour nous) et à partir duquel nous pouvons également lui en envoyer assez facilement (+4 pour nous) est un compartiment avec un contact moyen (-4 + 4 = 0). Il est assez peu intéressant car aucun ne pourra faire la différence: nous allons passer notre temps à tirer et à subir, sans que la situation n'évolue.
Un compartiment sur lequel l'ennemi aura du mal à tirer (-1 pour nous car il ne peut pas nous faire très mal), mais à partir duquel nos moyens nous permettront une action efficace (+5 pour nous), sera un compartiment avec un contact très positif (-1 + 5 = +4). Nous devrons donc y rester et agir avec force (concentration des efforts).
En matière incendie, une fois que nous aurons déterminé nos compartiments, il nous suffira de placer, sur chaque compartiment,  des "moins" en plus ou moins grand nombre (ou une valeur négative) afin de déterminer les points négatifs du contact (risque à rester à cet endroit) et d'y placer également des "plus" en plus ou moins grand nombre pour noter les aspect "positifs" de ce contact (capacité à y agir efficacement). Il suffira ensuite d'un simple coup d'oeil, de comparer le nombre de "-" avec le nombre de "+" de chaque contact ou de faire le calcul entre les valeurs positives et négatives afin de pouvoir déterminer le niveau de contact de chaque compartiment.

Pour faciliter le calcul, nous pouvons détailler un peu plus: il suffit de regarder le compartiment et le feu et, pour chaque détail de mettre des + ou des -. Le terrain est facilement accessible pour se déplacer facilement? On met un "+". On peut atteindre facilement le feu? on met un "+". On pourra l'arroser efficacement avec de petits moyens? on met un "+" etc... On réalise ensuite la même chose avec les moins. Dans ce cas, on ne limite pas le nombre de + et de -, contrairement a une mesure de 0 à 5, mais le principe reste le même. A vous de choisir ce que vous préférez, le but étant simplement d'effectuer, sur une échelle comparable, la mesure des points positifs et des points négatifs afin de déterminer le niveau de contact.

L'évolution du contact
Il faut bien comprendre que le terrain est une donnée fixe, tout comme le compartiment. Par contre, le feu et par la même le contact, sont des données variables. D'un point de vue militaire, l'ennemi peut déplacer ses moyens et commencer à rendre intenable un de nos compartiments qui, quelques instants auparavant, était calme. Dans ce cas le nombre de "-" de notre compartiment évoluera rapidement, rendant le contact très négatif et nous obligeant à revoir notre action (qui passera de "prenons le temps de manger" à "fuyons!!")

De même, nous pouvons très bien écraser totalement l'ennemi placé sur un compartiment vers lequel nous avons une grande facilité de tir. Une fois que nous aurons écrasé cet ennemi, c'est notre nombre de "+" qui diminuera. En effet, puisque nous aurons écrasé l'ennemi, nous n'aurons plus de bénéfice à continuer l'action. Notre contact restera positif (nous aurons aussi fait baisser ses "-") mais ne sera plus intéressant pour la suite des opérations. Il aura simplement permis de réaliser un Effet Majeur, nous donnant maintenant un élément de plus pour passer au prochain Effet Majeur, en changeant de compartiment.

En matière incendie, cette évolution est également facile à comprendre: le vent a changé de direction et souffle en amenant le feu vers un compartiment que nous avions considéré comme sûr. Ce contact devient donc de plus en plus négatif. D'un autre côté, une attaque menée sur un compartiment peut avoir été menée à bien en quelques secondes. Notre contact perd donc de son intérêt puisque la mission y a été remplie avec succés.

Les comptes-rendus
Cette évolution des contacts est liée aux actions menées et subies, mais surtout aux comptes rendus. Si nous reprenons nos plans, nous voyons que chaque compartiment est intégralement visible à partir de lui-même. Mais si nous sommes souvent obligé d'avoir plusieurs compartiments, c'est bien parce que sur notre terrain, il existe des points qui ne sont pas visibles "de partout".
Donc:
  • Les points d'un compartiment ne sont PAS tous visible à partir des autres compartiments.
  • L'analyse des contacts détermine le type et l'ordre des actions
  • Le contact évolue au sein d'un compartiment donc sur une zone qui n'est pas visible de partout
  • L'évolution du contact (en positif ou en négatif) détermine le changement dans le type et l'ordre des actions
Le chef devra donc déterminer les compartiments, déterminer le niveau de contact et engager son personnel sur les compartiments les plus favorables. Mais évidement, plus le nombre de compartiments sera élevé, plus l'intervention sera difficile à gérer.

Compte tenu de la définition des compartiments, ceux qui seront occupés par le personnel seront surveillés par celui-ci (chaque point du compartiment étant visible à partir des autres points du même compartiment).
Mais le chef devra donc se déplacer en quasi-permanence pour surveiller les autres compartiments afin de voir si leur contact évolue (en positif ou en négatif).
Afin que le chef puisse se concentrer seulement sur les compartiments sur lesquels il n'a pas pu placer du personnel, il faut qu'il puisse compter sur la qualité de la surveillance des autres, mais surtout qu'il soit informé de ce qui s'y passe. D'où l'extrême importance des comptes rendus.
Le poster ci-contre est utilisé pour les cours de commandement et de tactique des Sapadores-Bombeiros du Brésil. Il permet d'expliquer que rendre compte ne veut pas seulement dire "rendre compte quand tout est fini". C'est aussi rendre compte du fait que ça se passe bien, du fait que ça se passe mal ou du fait que la situation n'évolue pas.

A ce niveau, une vidéo postée sur Youtube et relative à un exercice militaire avec engagement dans un village, a permis d'envisager un moyen simple, relatif aux comptes rendus. Sur cette vidéo, le chef communique par radio avec son état major. Il indique ce qu'il va faire, comment, avec qui, mais surtout, il termine son message avec une estimation de temps ("Temps estimé, 10min"). Une fois l'action lancée, ce chef aura certainement beaucoup de mal à compter le temps et si la situation se dégrade, il se concentrera sur l'action, le temps passera et il risquera alors de ne pas rendre compte. Or, ayant déclaré qu'il estimait son temps d'action à 10min, il a transmis cette information a des personnes qui sont hors du contexte de stress de l'action, qui ont donc toute la capacité à regarder leur montre et donc, au bout de 11 ou 12min, à le rappeler pour lui demander ce qui se passe.

Lorsque le chef d'agrès incendie aura déterminé ses compartiments et les contacts, il pourra déterminer les actions et le personnel, montrer cela sur son petit plan et indiquer l'heure à laquelle il estime que l'action sera terminée. Le personnel sera alors engagé et mènera l'action demandée, tandis que le chef surveillera les compartiments inoccupés.
Si les intervenants rendent compte, tout ira bien. S'ils ne rendent pas compte, un coup d'oeil sur sa montre permettra au chef de remarquer que cela fait par exemple 12min qu'il a donné une mission qui ne devait durer que 10. Ayant placée cette durée et l'action sur son compartiment (donc sur le schéma qu'il a fait), il saura où se diriger afin de demander ce qui se passe et éventuellement réorganiser son dispositif en fonction de l'évolution des contacts.

La prochaine fois nous étudierons quelques outils tactiques et nous verrons comment donner des directives avant d'analyser la situation.

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